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Interview

Et si on désacralisait Parcoursup grâce à CESI ?

Proposé par CESI

Et si on désacralisait Parcoursup grâce à CESI ?
Et si on désacralisait Parcoursup grâce à CESI ? © CESI
Par L'Etudiant Fab, publié le 23 avril 2025
5 min

Chaque année, c’est la même histoire : dès que le calendrier Parcoursup s’accélère, la pression monte chez les lycéens et leurs parents. Stress des choix, peur de l’erreur, angoisse du refus… Il est temps de prendre du recul !

S’il y a une école qui a pris la problématique de l’orientation à bras-le-corps, c’est bien l’école d’ingénieurs CESI. D’une part, parce que l’établissement propose un large choix de formations dans de très nombreux domaines. D’autre part, parce que l’école met les moyens nécessaires pour bien orienter ses candidats, vers ses propres filières, bien sûr, mais aussi des filières hors CESI. C’est l’une des missions d’Emmanuelle Papaïs, chargée des relations candidats-entreprises et coach en orientation au sein de l’un des 25 campus de l’école : « Une fois par semaine, j’organise “Les Mercredis de l’orientation”, au cours desquels je reçois des lycéens ou des candidats en réorientation scolaire. Je les écoute et j’essaie de savoir s’ils ont le profil pour l’une de nos formations. S’ils ne l’ont pas, je fais au mieux pour répondre à leurs attentes et leur donner un éclairage en termes d’orientation (sur une formation, un domaine auxquels ils n’avaient pas pensé, des études courtes, une année de césure…) », précise la spécialiste en orientation. Son credo : privilégier l’humain et les métiers, mais aussi relativiser Parcoursup. Décryptage.

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Remettre de l’humain au cœur de l’orientation

 « Tu es le maître de ton destin, le capitaine de ton âme. L’important c’est ce qui t’anime toi, et personne d’autre », résume Emmanuelle Papaïs. L’idée ? Faire comprendre aux lycéens qu’ils ont le droit de s’écouter, de choisir leur voie et même de se tromper.

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Il faut dire en effet que l’orientation est souvent parasitée par de nombreux facteurs extérieurs : la pression sociétale, le poids des « grandes écoles » et surtout, les attentes parentales. « Certains jeunes se retrouvent poussés vers une voie qui ne leur correspond pas simplement pour satisfaire au modèle parental. Il est donc essentiel de rééquilibrer la relation parents-enfants en suscitant le dialogue et en mettant l’accent sur les soft skills », abonde la coach en orientation.

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Les soft skills – comme l’adaptabilité, la créativité, la communication ou encore la gestion du stress – sont aujourd’hui des éléments déterminants pour réussir dans un monde du travail en constante évolution. Elles sont souvent liées à la personnalité et à l’expérience de vie. « Encourager les jeunes à identifier et valoriser leurs soft skills dès le lycée, c’est leur donner les clés pour s’épanouir, quelle que soit la voie qu’ils choisiront », ajoute Emmanuelle Papaïs.

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Parler « métier » plutôt que « formation »

Qu’on se le dise, l’important n’est pas la formation en soi, mais le métier que l’on veut exercer. Eh oui, il ne faut pas oublier qu’une formation dure seulement trois à cinq ans, tandis qu’une carrière s’étend sur plusieurs décennies !

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« Plutôt que de choisir une école ou un cursus par défaut, il est plus pertinent de se demander ce que l’on veut faire au quotidien : “Quel type d’environnement de travail me correspond, quelles missions me passionnent ? Est-ce que je souhaite un métier dynamique ou plutôt structuré ? Est-ce que je préfère le travail en équipe ou en autonomie ? Est-ce que je veux un métier avec du contact humain ou un domaine plus technique ?” Ces réflexions permettent d’aligner ses choix d’orientation sur ses aspirations profondes », précise Emmanuelle Papaïs.

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Bien entendu, choisir un métier aujourd’hui ne signifie pas s’y enfermer pour toujours, mais plutôt s’engager dans une voie qui pourra évoluer avec le temps. En effet, il est de plus en plus courant d’exercer plusieurs métiers au cours d’une vie. Les reconversions et formations continues sont monnaie courante, permettant d’adapter ses compétences aux nouvelles opportunités.

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Rater Parcoursup, et alors ?

Pour Emmanuelle Papaïs, Parcoursup est vu, à tort, comme une sentence irrévocable. « On ne joue pas sa vie sur Parcoursup ! On a le droit de ne pas savoir ce qu’on veut faire quand on est lycéen, on a le droit de se tromper. Si on échoue, on se relève et on rebondit. Un échec, c’est d’abord quelque chose de constructif. Et puis Parcoursup n’est qu’un outil parmi d’autres ! Il existe de nombreuses alternatives : formations hors Parcoursup, écoles spécialisées, formations certifiantes, apprentissage, année de césure… Chaque parcours est unique et il existe toujours plusieurs chemins pour atteindre ses objectifs. »

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Difficile de lui donner tort ! Dans un monde en perpétuel changement, il est essentiel de dédramatiser l’orientation. Rien n’est figé, et la formation se poursuit tout au long de la vie.

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Alors, lycéens, parents : soufflez un peu, et repensez l’orientation avec sérénité !

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Et pourquoi pas choisir CESI ?

CESI permet à ses étudiants et alternants de devenir acteurs des transformations des entreprises et de la société. Concrètement, ils sont formés aux métiers et aux compétences de demain, pour répondre aux enjeux d’employabilité et aux besoins de compétences des entreprises.

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CESI, ce sont cinq domaines d’expertise…

  • Industrie & Innovation

  • BTP & Génie civil

  • Informatique & Numérique

  • RH & Management

  • QSE & Développement Durable

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… et huit programmes différents :

  • Programme Grande École

  • Bac +2 Technicien supérieur

  • Bachelor

  • Mastère professionnel

  • Mastère spécialisé®

  • Programme doctoral

  • Programme Executive

  • Programmes internationaux

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Pour en savoir plus, inscrivez-vous aux prochains « Mercredis de l’orientation » et échangez avec Emmanuelle Papaïs.

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